Les différentes appellations de l’Harpagophytum
L’Harpagophytum, comme de nombreuses autres plantes peut parfois prendre différentes appellations. En effet on le surnomme facilement Griffe du diable ou encore Racine de Windhoek. Appelé en anglais Desvil’s Claw est est aussi appelée plante grappin, araignée des bois.
Répartition Géographique
Nous trouvons de l’Harpagophytum en Namibie, au Botswana, en Afrique du Sud, en Angola et dans une moindre mesure en Zambie, Zimbabwe et au Mozambique (Ihlenfeldt & Hartmann 1970). On trouve deux espèces du genre (H. procumbens, H. zeyheri) qui comprennent cinq sous-espèces. Chaque espèce à une aire de répartition distincte l’harpagophytum Procumbens qui est les plus utilisé en tant que complément alimentaire en gélules se trouve dans la plupart des parties sablonneuses de Namibie et du Botswana, le sud de de la zone de répartition de H. zeyheri ssp. sublobatum et dans la région du Nord du Cap d’Afrique du Sud.
Habitat disponible
Les petites zone de répartition de l’Harpagophytum Procumbens montrent une baisse de disponibilité de l’habitat en raison de l’expansion de l’utilisation des terres pour l’agruculture comme indiqué par la comparaison des recherches sur le terrain en vertu de prises dans les années 1970 et depuis 1995. Cela est particulièrement vrai pour le nord du Transvaal, en Afrique du Sud, où H. procumbens. La Disponibilité de l’habitat dépend de l’état des pratiques d’utilisation des terres. Dans les terres agricoles fortement surpâturées ou des terres communales à un stade avancé d’embroussaillement, ainsi que dans la savane herbeuse dominée, l’Harpagophytum risque de disparaître en raison de la force concurrentielle faible.
Etat actuel des populations
La répartition est très inégale des H.procumbens, même sur un sol favorable et un habitat convenable, il est donc difficile d’estimer dans le nombre de plantes par hectare pour la superficie totale de la distribution. La zone couverte par une population dépasse rarement 200 x 200 m (1-4 ha). En Afrique du Sud, H. procumbens (ssp transvaalensis) pousse dans des groupes épars comprenant des grandes plantes matures (Craib 1999). Les classes d’âge peuvent souvent être clairement classés et sont susceptibles de provenir de graines qui ont germé lors d’une précédente pluie. NOTT (1986) affirme que les populations sauvages d ‘H. procumbens peuvent atteindre une densité par hectare de 5 à 7 e plantes, mais localement ils peut y avoir des populations jusqu’à 1200 plants par hectare.
Selon les livres d’époque, le genre était autrefois très abondant et considéré comme un problème par les fermiers namibiens. Ça à conduit à une forte diminution de l’ espèces à partir des années 1950 jusqu’au années 1970 en raison de déraciner des plantes par les agriculteurs. Ce n’était pas avant la valeur médicinale de H. Procumbens à été largement reconnue lors exploitation à grande échelle a commencé, d’abord partir d’une base très locale et la diffusion de la plupart de la zone de distribution par jour. En raison de la demande croissante, le niveau d’exploitation a augmenté dans une mesure considérable.
Tendances
Les informations données ici sont tirées d’études sur le terrain, de livre et de communications personnelles à partir avec la Namibie et le Botswana. Selon la région et le pays, on trouve une baisse variant populations individuelles de procumbens H..
Cela est dû à des intensités variables de récolte et les techniques de récolte des différents groupes ethniques ainsi que pour la connaissance et l’accès aux marchés et aux acheteurs, respectivement.
Des études en provenance du Botswana, de Namibie, indique le déclin évident des plantes sauvages en raison de leur exploitation dans la plupart des zones communales des pays (en fonction de communications personnelles avec les fermiers namibiens et des agents forestiers). Là encore, on, trouve non seulement une distribution inégale naturelle du plan lui-même, mais jusque-là si une exploitation inégale et localement ciblées de la ressource. On peut affirmer que, jusqu’à présent la diminution liée à l’exploitation de H. procumbens est surtout concentrée dans les zones communales (détenue et gérée par une collectivité locale) de la Namibie. Jusqu’à présent, la terre agricole commerciale (détenue et gérée par des agriculteurs privés) n’est guère impliqué dans la récolte. Néanmoins, des études récentes en Namibie (Hachfeld, comm.). Manifestent un intérêt croissant des agriculteurs qui peuvent en tirer des revenus supplémentaire.
Les fluctuations naturelles se produisent en fonction de la quantité de précipitations. Ces fluctuations ont un effet sur les techniques de récolte ainsi que sur les quantités de matière récoltés lors des années sèches, parce que c’est les petits tubercules des plantes jeunes sont susceptibles d’être creusée.
En outre, les exportateurs et les intermédiaires rapport que dernièrement l’ H. procumbens est de plus petite taille que d’habitude et une réduction du stockage (Berg, ENGELBRECHT, comm.)
Rôle de l’espèce dans son écosystème
L’Harpagophytum procumbens est une espèce vivant dans les zones à faible pluviométrie annuelle (100-200 mm / an; BLANK 1973). On le trouve surtout sur les sols sabloneux du Kalahari mais aussi dans les moules blanchâtres d’argile (Nott, 1986). L’Habitats typiques sont les plaines alluviales ou les pâturages (Blank, 1973). La végétation voisine de la savane avec des arbres comme l’Acacia.
Dans les années sèches la couverture peu herbacée, les fruits et les fleurs de procumbens H. sont pâturées par les moutons, les chèvres et les bovins. Un rapport Sud affricains déclare que les plantes dans le nord de la province (H. procumbens spp. Transvaalensis) sont fortement pâturées Indépendamment des précipitations (Craib 1999).
Menaces d’extinction de l’Harpagophytum
L’une des principales menaces pesant sur les populations de H. procumbens est la récolte à grande échelle des tubercules secondaires en particulier lorsqu’il est associé à des techniques de récolte néfastes. La demande croissante de H. procumbens sur le marché international a déjà conduit à la surexploitation des espèces, par exemple, au Botswana et dans certaines parties de la Namibie. Les communications personnelles (comme Hachfeld) ainsi que différents auteurs (par exemple Marshall, 1998; OLIVIER, aucune date; PAILLE BACH 1995) donnent des preuves solides que les techniques de récolte (i) ont été appliquées non durable dans le passé, la surexploitation a eu déjà lieu et une augmentation de la demande sera la principale menace pour les espèces à l’avenir. H. procumbens lu dernièrement à comprendre la pression de plus en plus élevé depuis la récolte des autres espèces du genre (H. zeyheri) n’est pas officiellement enregistrée comme une plante médicinale et n’est pas autorisé pourquoi, comme à tout autre ingrédient de produits pharmaceutiques. La conséquence est un changement des activités d’exploitation de l’aire de répartition des deux espèces dans le nord de la Namibie à une forte concentration sur les zones à H. procumbens seulement à l’intérieur des deux dernières années.
Afin de produire des tubercules secondaires de taille appropriée pour l’exploitation, une période de croissance d’un minimum de 3-4 ans est nécessaire.
Il faut donc avoir conscience qu’une hausse des prix de l’Harpagophytum comme compléments alimentaires est inévitable au fur et à mesure des années.